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Photo du rédacteurNicole Lebrasseur

Quelles provinces peuvent se séparer du Canada ?

Dernière mise à jour : 6 mars 2023



 

Notez : Ce document a été traduit pour votre bénéfice. En cas d'incohérence, la version originale anglaise prévaudra, compte tenu qu’elle est la source de ce contenu. Merci de votre compréhension.


À propos:

  1. de la NON-sécession (séparation) des provinces ou térritoires,

  2. de la non-dérogation des droits

  3. de la clause nonobstant (inconstitutionnelle) qui priverait les Canadiens de leurs droits humains internationaux aux niveaux fédéral, provincial et municipal.

Définition : nonobstant signifie "même si".


Il est très important de comprendre les principes de l'État de droit et ce sur quoi ils reposent. Il est également important de comprendre nos droits en tant que citoyens canadiens ici et au niveau international. Une fois que nous comprenons leur dynamique, nous pouvons alors voir plus clairement comment nous pouvons faire respecter nos droits.


Veuillez conserver ce blogue, car j'y reviendrai pour y ajouter d'autres informations. Mais pour l'instant, la partie la plus importante de ce blog est que les Canadiens voient clair dans le double langage politique et la désinformation utilisés pour nous faire croire que quelqu'un en politique va nous sauver.


Seul nous, le peuple, pouvons sauver ce pays. Il est crucial de comprendre la dynamique et les aspects juridiques du gouvernement fédéral, des provinces et du Royaume-Uni sous le couvert de " Diriger par droit " au lieu de l'État de droit " dans notre Constitution et la Charte des droits et libertés.


Heureusement pour nous, en tant que société démocratique, la règle de droit nous donne les outils dont nous avons besoin pour protéger notre pays et notre avenir d'une manipulation vers une gouvernance mondiale par des sociétés privées aux mains de nos politiciens et des maires canadiens dans le cadre du nouvel ordre mondial "Great Reset".


J'ai joint les documents PDF pour que vous puissiez les lire. Gardez-les près de vous car ils sont importants pour comprendre la loi qui peut garantir notre véritable liberté et sauver notre pays, ses ressources pour nos enfants et les générations à venir. (Documents seulement en anglais pour l'instant. )


Si les Canadiens soutiennent notre cause, alors nous avons une bonne chance d'être enfin reconnus légalement comme les actionnaires officiels, les copropriétaires de la Couronne du Canada sans interférence extérieure et sans infiltration au sein de nos gouvernements à ce jour.


Dans l'actualité aujourd'hui : La clause anticonstitutionnelle "nonobstant".


La raison pour laquelle nous affirmons que la clause nonobstant est inconstitutionnelle est que la Constitution canadienne inclut les droits de l'homme internationaux qui comprennent également la non-dérogation du "Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP)", que le Canada et le Royaume-Uni ont signé en 1976.


Les lois internationales universelles sur les droits de l'homme, qui comprennent tous nos droits, que le Canada et le Royaume-Uni ont signées, rendent la clause nonobstant inconstitutionnelle lorsqu'il s'agit de ces droits.


Cette non-dérogation des droits en vertu du "Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP)" nous donne, à nous, le peuple, le pouvoir de contester toute loi adoptée par n'importe quel niveau de gouvernement utilisant la clause nonobstant, ou toute agence gouvernementale publique, société, association, employeurs, syndicats, etc. ou toute autre personne ignorant notre droit légal de non-dérogation à leur égard, à tout moment et en particulier dans des situations telles que l'urgence ou la guerre.


Et de manière tout aussi surprenante, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) elle-même ne peut déroger à aucun de nos droits. Voir le document ci-dessous. Nos gouvernements et la santé publique ont menti.


Si les Canadiens soutiennent cette cause, alors nous avons une bonne chance d'être enfin reconnus légalement comme les actionnaires officiels, les copropriétaires de la Couronne du Canada sans interférence extérieure et sans infiltration au sein de nos gouvernements à ce jour afin de mettre fin à la manipulation, la coercition, la tromperie et les mensonges commis contre nous tous.


NL


 

Documents sur la NON sécession (séparation) des provinces ou territoires du Canada légalement expliqué.


NB: Traduction deepl non officielle. S.V.P. voir l'original en anglais.


1. Les buts et principes de la Charte des Nations Unies, ses Origines, développements ultérieurs du droit et de la pratique et (mauvaise) interprétation dans le contexte des revendications unilatérales de sécession dans la zone osce.


Troisièmement, l'autodétermination a plutôt été reconnue comme s'appliquant auxpeuples des États indépendants dans leur ensemble, y compris les groupes minoritaires en tant que partie de leur population à l'intérieur de ces États, de leur population à l'intérieur de ces États, et prévoit le droit de choisir leur propre forme de gouvernement sans interférence extérieure et sans participation de choisir leur propre forme de gouvernement sans ingérence extérieure et de participer à la conduite des affaires publiques aux niveaux de gouvernement appropriés.


En savoir plus dans le document:


The Purposes and Principles of the un Charter Origins, Subsequent Developments in Law and Practice and (Mis)interpretation in the Context of Unilateral Secession Claims in the osce Area


2. Sécession unilatérale c. Intégrité territoriale des États


Unilateral Secession v. Territorial Integrity of States


 


1. Non-dérogation des droits en cas d'urgence ou de guerre


c) Les États parties ne devraient pas déroger aux droits énoncés dans le Pacte ou invoquer une dérogation existante lorsqu’ils sont en mesure d’atteindre leurs objectifs de santé publique ou d’autres objectifs de politique publique en se prévalant de la possibilité de restreindre certains droits comme ceux consacrés à l’article 12 (liberté de circulation), à l’article 19 (liberté d’expression) ou à l’article 21 (droit de réunion pacifique), conformément aux dispositions du Pacte relatives à de telles restrictions, ou de la possibilité de fixer des limites raisonnables à l’exercice de certains droits, comme ceux consacrés à l’article 9 (droit à la liberté de la personne) et à l’article 17 (droit à la vie privée), conformément aux dispositions de ces articles ;


d) Les États parties ne doivent pas recourir aux pouvoirs exceptionnels ou mettre en oeuvre des mesures dérogatoires d’une manière qui soit discriminatoire ou qui viole d’autres obligations qu’ils ont contractées au titre du droit international, y compris d’autres instruments internationaux relatifs aux droits de l’homme auxquels aucune dérogation n’est autorisée. Ils ne peuvent pas non plus déroger aux dispositions du Pacte non susceptibles de dérogation − article 6 (droit à la vie), article 7 (interdiction de la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, et des expériences médicales ou scientifiques menées sans le consentement de la personne concernée), paragraphes 1 et 2 de l’article 8 (interdiction de l’esclavage, de la traite des esclaves et de la servitude), article 11 (interdiction d’emprisonner une personne au motif qu’elle n’est pas en mesure d’exécuter une obligation contractuelle), article 15 (principe de légalité en matière pénale), article 16 (reconnaissance de la personnalité juridique de chacun) et article 18 (liberté de pensée, de conscience et de religion) − ni à d’autres droits qui sont essentiels pour faire respecter les droits non susceptibles de dérogation énoncés dans les dispositions susmentionnées et pour assurer le respect de l’État de droit et du principe de légalité même en cas de danger public exceptionnel, notamment le droit d’accès aux tribunaux, les garanties d’une procédure régulière et le droit des victimes à un recours utile ;

1. Non-derogation of rights in case of emergency or war


2. Non-dérogation des droits pour Avocats durant les rassemblements


Lignes directrices à l'intention des avocats qui soutiennent les rassemblements pacifiques


Guidelines for lawyers in support of peaceful assemblies

3. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) et la santé publique ne peuvent empiéter sur nos droits de l'homme universels.


Déclaration de L'OMS


"Le droit à la santé suppose à la fois des libertés et des droits:


Les libertés comprennent le droit de l’être humain de contrôler sa propre santé et son propre corps (par exemple les droits sexuels et génésiques), ainsi que le droit à l’intégrité (par exemple le droit de ne pas être soumis à la torture et de ne pas être soumis sans son consentement à un traitement ou une expérience médicale).


Les droits comprennent le droit d’accès à un système de protection de la santé qui garantisse à chacun, sur un pied d’égalité, la possibilité de jouir du meilleur état de santé possible"




 

La clause "Nonobstant".


Dans ce document, vous verrez que les déclarations sont en contradiction avec les pactes internationaux relatifs aux droits de l'homme. Il appartient à tous les Canadiens de dénoncer cette fraude contre nos droits.


1. Le Centre d'études constitutionnelles l'explique bien.




3. Gov. Étude générale



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